Vélo électrique et écologie

Vélo électrique et écologie

Le regain d’intérêt pour le vélo électrique depuis une décennie correspond à bien des considérations. Parmi celles-ci, le respect de l’environnement n’est pas à négliger.

La principale qualité des VAE est qu’ils ne rejettent pas de gaz à effet de serre et qu’ils ne consomment pas d’énergie fossile. A titre de comparaison, l’automobile en rejette 164,2 grammes de CO2…

Leur utilisation étant principalement urbaine, ils contribuent ainsi fortement à la diminution de la pollution résiduelle générée par l’automobile ou les transports en commun.

Il convient également de souligner que les filières de recyclage des différents composants atteignent un taux de retraitement de 99 %.

Utilisant l’électricité, le VAE est indirectement concerné par le débat autour du nucléaire. Quelques éléments sont toutefois à prendre en considération. Le premier concerne sa consommation, qui se situe aux alentours d’1 kWh pour 100 kilomètres.

De plus, la production des centrales nucléaires est destinée à répondre à la demande sans cesse croissante des chauffe eaux et appareils ménagers (plaques électriques, fers à repasser, machines à laver, chauffage etc.) particulièrement énergivores.

N’oublions pas également que les énergies dites renouvelables sont en pleine expansion, et que éoliennes, panneaux solaires ou marées motrices couvrent bien plus que les seuls besoins des VAE.